Rue A. Coopmans 10
"Amon Peeters" comme disaient les anciens
Avant la guerre de 14, on disait "Amon l'vî farmachin" d'après Antoine Kerstenne qui y avait son officine. Plus tard, on parle d'"Amon l'ârtisse" en référence au vétérinaire qui y habitait et avant lui "Amon Djâques" d'après Jacques Kerstenne (ancien Bourgmestre de Crisnée) |